Citoyennes, citoyens du Monde On se croyait très forts Nenni ! Fi de notre puissance Il est venu en traitre nous imposer sa loi Neutraliser nos vies Ennemi invisible Minuscule venin Envahissant nos corps et déchirant nos coeurs Neutralisant nos forces Tuons ce cannibale et aimons nous vivants… Clarysse

Catastrophe sanitaire, économique, humanitaire Ombre portée de choix irresponsables Négation de la course aux profits Fin des belles paroles, mensonges d’État  Immersion subite dans le repli sur soi Nourriture devenue de première nécessité Enfermement forcé dans la cité Maintien dans un dedans cloisonné Eternuement suspect, mains lavées Nul ne peut sortir sans dérogation Tarissement des … Lire la suite

Comment vous dire : on n’a rien vu venir Occultant bravement les signes avant-coureurs Naviguant à vue vers la rive du pire Forgeant à petit mots les prémices de la peur Imaginant jour après jour la chute de l’Empire Nos élites sur le pont entonnent avec cœur : Ensemble on ira loin, on saura le bannir ! Médecins … Lire la suite

Comment faire ? Organisation Normaliser Former Introspecter Négocier Entendre Méditer Enfermer Nier Terrifiée

Camarade malade en devenir, Osez la vie au au-delà des frontières N’avouez jamais vos faiblesses Face au miroir et à votre reflet déformé, Intelligence en berne devenue virtuelle Nappage de la vérité, Envie de croire à la vie Mais pas seule et vite, Ensemble, on s’est manqué. Normalité retrouvée pour une récolte Toute en grâce … Lire la suite

Cruauté de notre destin Ô faut-il s’appesantir ? Nier notre inconfort, Faire comme si notre vie n’en était pas changée ? Impossible, pour beaucoup d’entre nous … Ne pas tâter du pied le trottoir, Et se contenter de regarder par la fenêtre, Marcher de long en large dans le salon Et s’avachir dans un fauteuil ? Non ! Il … Lire la suite

Cannibale, calamiteux, Organisant toutes nos craintes, Nécrophages, pernicieux, Fragilisant nos âmes saintes. Insidieux, vil Corona Nimbé de mort, pourquoi l’enfer ? Emphysème pour le sana, Méritons-nous la mise aux fers ? Espères-tu, que confinés, Nous nous tairons, en repentis ? Trop de gloires vont nous happer, Si la guerre ne nous meurtrit. Olivier de Driadi